Catégories : Chasteté ceinture chasteté hom fem Femmes soumises sexuelles
il y a 5 ans
Il y a des fois, où l’on devrait faire attention à ce que l’on dit quand on est en fin de séance BDSM et complètement allumée par le plaisir. Je ne regrette pas ce que j’ai vécu mais une fois suffira car ce fut vraiment extrême.
Voilà, j’ai 35 ans, 1 mètre 65 pour 55 kilos. Je suis la soumise de Maître Luc, un Maître attentif, respectueux mais très entier. Avec lui, si on le dit on le fait. Si j’aime beaucoup le BDSM et les situations où je n’ai plus le choix, j’avoue être aussi très gourmande sexuellement. J’aime ça comme on dit et je l’assume.
Maître Luc se plait à dire que si un jour il m’offrait à une équipe de rugbymans, il n’est pas sûr que je sois rassasiée. Cette expression lui est venue un soir dans un club libertin où il m’avait attachée et offerte à plusieurs hommes. Au moment de partir, j’ai dit « déjà » avec mon naturel spontané et irréfléchi alors que j’avais eu huit partenaires pendant la soirée.
Plusieurs fois il m’a surprise à me masturber en regardant des vidéos de BDSM sexuel sur fessestivites. Depuis, pour me punir réellement et longuement, il ne me fesse plus, il me met sous une ceinture de chasteté achetée sur ABCplaisir. La durée peut aller de deux jours à une semaine, et à la fin de la semaine, je me sens carpette, folle, explosive tant je suis en manque.
C’est lors d’une de ces punitions que j’ai dérapé « grave » de chez « grave ».
Nous étions en train de regarder une émission à la télévision. Elle parlait de prostitution, du calvaire des filles mises à l’abattage sur des chantiers. Etant sous ceinture de chasteté j’ai dit sans réfléchir « elles ont de la chance » de se faire baiser toute la journée. Maître Luc m’a incendiée, en me disant que j’étais folle à lier, que ces pauvres filles vivaient l’enfer sur terre, qu’il ne comprenait pas que je puisse dire qu’elles avaient de la chance. Il m’a lancé « Si je te faisais vivre ça, tu ne dirais pas la même chose ». Et là, comme une grosse conne j’ai répondu que cela me plairait bien d’essayer. Ma réponse débile a été prise au premier degré.
Moi je faisais référence à un club libertin, un lieu de plaisir pas de prostitution ! ! !
Mon Maître n’a pas décoléré, j’ai pris une semaine de plus de chasteté en plus d’une fessée punitive qui m’a laissée des marques pendant dix jours. Cette semaine de chasteté punitive fut horrible, il m’a vraiment traitée comme une prostituée en m’imposant deux fellations par jour, une le matin au réveil et une le soir sans aucun droit au plaisir pour moi. Le samedi soir, il m’a emmenée au club libertin avec ma ceinture de chasteté. J’ai du sucer tous ceux qui en avaient envie pendant que lui s’envoyait en l’air avec une blondasse. GRRRRR
Si je vous dit que j’étais folle de rage, je pense que vous me croyez sur parole. En sortant il m’a demandée si j’étais toujours partante pour une journée dans un bordel ? Et rien que pour l’emm, pardon, l’ennuyer j’ai répondu « oui si je m’y fais baiser ». J’ai bien cru qu’il allait me tuer dans le parking.
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Les semaines ont passé, et nous avions repris notre vie normale, fessée, fouet, bondage et sortie en club libertin quand il m’a demandé un soir, si je voulais toujours vivre l’expérience de l’abattage. Et la grande folle lui a répondu « oui » en ajoutant juste une requête, être cagoulée pour ne pas voir les hommes ni les sucer. Quand j’ai vu ses yeux briller, ce regard qui permet de deviner qu’il manigance quelque chose, j’avoue avoir été excitée et un peu inquiète aussi car, comme indiqué au début de ces confidences, la devise de Maître Luc est : « si on le dit, on le fait ». Oui mais, on le fait jusqu’où le suis-je demandée.
Une sorte de peur troublante s’est installée en moi. Elle a duré quelque jours, allait-il réellement me faire vivre ce fantasme est la question que je me suis posée mille fois.
Mon Maître avait trouvé quelqu’un qui a une grande entreprise dans le BTP mais tout cela, je ne l’ai su qu’après.
C’était un week-end où nous n’avions rien de prévu, et pour cause..... Quand il m’a indiquée juste après le repas du midi de me faire belle et de mettre une robe noire et rien dessous, à son regard j’ai compris qu’il allait se passer quelque chose de pervers. Ses yeux en disaient long.
A quinze heure, nous sommes partis en voiture pour une destination inconnue pour moi. Il ne voulait rien me dire et, le fait qu’il n’avait pas préparé ni chargé sa « valise » avec son matériel BDSM ne me permettait pas d’imaginer la suite. Lorsque nous sommes arrivés sur le chantier d’un ensemble d’immeuble, j’ai compris que l’heure avait sonné pour moi d’être confrontée à la réalité de mon fantasme et surtout, de ma débile provocation.
Je n’étais plus motivée du tout ! J’avais peur. L’excitation des fantasmes s’était envolée, mais loin, très loin, elle devait même atteindre la planète Mars. Et quand il m’a indiquée « il va falloir assumer ma belle » ce fut pire.
Il a pris sa fameuse valise dans le coffre de la voiture et m’a demandée de descendre pour me conduire à un bungalow miteux. Il avait été vidé de son contenu initial, un lit était installé au milieux avec quelques chaises autour. Sur ce lit crade, il a installé un couvre lit en me demandant de l’aider puis a sorti les bracelets de chevilles, des menottes et des chaînes. En le regardant faire, ma gorge était si serrée que j’avais du mal à respirer. Un homme est entré, à serré la main de mon Maître et m’a juste souri.
Cet homme nous regardait avec des yeux de gros gourmand. En réalité, c’était le chef d’entreprise qui venait voir si j’étais vraiment d’accord mais ça aussi, je ne l’ai su qu’après.
Mon Maître m’a souri puis embrassée avant de m’enfiler la cagoule d’isolation BDSM que nous avions achetée sur ABCplaisir. On ne voit vraiment rien avec ça, les sons sont atténués et déformés, en BDSM c’est grisant mais là, celle me faisait peur. J’avais peur d’étouffer alors que je l’avais déjà portée deux fois sans aucun souci. Quand il m’a guidée pour monter sur le lit, je tremblais de la tête aux pieds. Par habitude puisque je sais qu’il n’y a aucun danger quand Maître m’attache, je me suis laissée entraver bras et jambes en croix sur le lit.
Après m’avoir bondagée et totalement offerte, il a inséré des trucs dans mon vagin, je n’ai su après que c’était des suppositoires de glycérine pour aider à la lubrification. Si nous avions déjà joué un peu à ces jeux que j’adore d’esclave sexuelle en club libertin, là j’avais peur. Le patron de l’entreprise devait être très excité par ce qu’il voyait car il n’a pas tardé à monter sur le lit pour baiser la « pute de chantier ». Ce premier homme à me prendre m’a beaucoup perturbée, cela n’avait aucun rapport avec nos jeux. Je n’ai pas pris de plaisir, je n’arrivais pas à entrer dans la bulle de l’abandon.
Comme indiqué, si avec la cagoule BDSM on n’entend presque rien, je suis quand même parvenue à entendre et ressentir la porte du bungalow qui s’ouvrait et se fermait. Il m’était par contre, impossible de savoir si c’était Maître qui entrait ou sortait ou si c’était des ouvriers. Quelques minutes après le chef d’entreprise, un autre homme a pris sa place entre mes cuisses. Il malaxait mes seins en m’embrassant dans le creux de l’épaule pendant qu’il me baisait comme une dératé. J’allais jouir quand il a éjaculé et s’est complètement couché sur moi. Le suivant n’a pas tardé à prendre sa place, il était bien plus gros mais comme je suis « accueillante » cela n’a pas été douloureux, au contraire ! Ses mouvements en moi m’ont rapidement faite grimper dans les tours du plaisir, cette spirale infernale qui vous emporte dans les cieux. Cet ouvrier m’a comblée, j’ai crié mon plaisir dans ma cagoule comme une malade. Mes cris résonnaient à l’intérieur, j’étais avec mes fantasmes « sur Mars ». C’était divin, sublime, puissant. Lui aussi n’a pas tardé à jouir et à se retirer.
Contrairement au club libertin, un autre a pris sa place quelques secondes plus tard. Sa pénétration a été brutale, un peu comme s’il voulait asseoir sa supériorité sur la « femelle ». Aucun tact, aucun savoir vivre, il venait juste se vider les couilles et exploser une nana. Par chance, ce superman des bas fonds a été très rapide, il a joui presque de suite. Encore une fois, un autre a pris sa place presque aussitôt, les ouvriers devaient faire la queue aux pieds du lit en se masturbant pour que cela aille aussi vite. Sa pénétration ayant été moins brutale, j’ai pu apprécier son sexe et ses mouvements en moi. Encore « chaude » de l’étalon d’avant, j’ai pu décoller sous ses asseaux et jouir en tirant sur les liens. Oh mon dieu que c’était bon que de ne pouvoir rien faire, rien dire, uniquement subir ces hommes.
Au dixième, Maître a inséré un petit tube à travers le trou de la cagoule pour me faire boire. Il a passé des lingettes sur mon corps qui devait être tout transpirant, m’a encore logée des suppositoire à la glycérine dans le vagin avant de m’abandonner aux hommes. Ils n’ont pas tardé à se succéder en moi, sur moi aussi en m’écrasant parfois de tout leur poids sans aucune élégance pour certains. Au bout d’un moment j’ai arrêté de compter. Certains sont encore arrivés à me faire jouir, après chaque jouissance j’étais épuisée et me traitais de malade du sexe.
Mon Maître m’a encore donnée à boire avec le tube, et quand il a encore mis des suppositoires à la glycérine dans mon sexe. Je me suis alors demandée avec inquiétude si cela allait durer longtemps et s’il y en aurait beaucoup des ouvriers. Mon vagin résistait bien, ce qui me faisait mal ce sont les cuisses. Les jambes en V longtemps et les frottements commençaient à irriter l’intérieur de la peau de mes cuisses. Cette irritation a commencé à gâcher mon plaisir, je ne pensais plus qu’à ça. C’est là que j’ai commencé à vraiment comprendre ce que devait être le calvaire des filles. Je précise que j’ai bien compris que c’est un calvaire tout court, je parle là des souffrances physiques qui doivent s’ajouter à toutes les autres.
Quand Maître a décidé de m’accorder une pause, j’ai cru que c’était terminé. Non, ce n’était vraiment qu’une pause. Il m’a retirée la cagoule et passé des lingettes sur le visage avant de me donner à boire. J’ai pu lui parler de mes cuisses, bien mal m’en a pris. Après m’avoir remis la cagoule, il a délivré mes jambes pour que je puisse les relever. Et quand il a lubrifié mon anus, je l’ai maudis, je me suis maudite car j’ai compris ce qu’il m’attendait.
Je n’ai appris qu’après qu’une règle avait été fixée aux ouvriers qui voulaient me sodomiser. Ils devaient commencer devant et être doux derrière. Si j’avais peur d’être blessée, aucun n’a été brutal pour me sodomiser. Le premier à être passé par là bloquait mes jambes sur ses épaules. Je me suis sentie encore plus offerte que quand j’étais juste couchée les membres attachés en croix sur le lit. Comme j’aime me sentir impuissance et obligée de subir, malgré l’épuisement j’ai encore joui de devant et du cul.
L’un des ouvriers a été excellent, il m’a défoncée sans me faire mal, sans aller trop profond et quand il m’a sodomisée, il s’est ensuite lâché. Et là j’ai pris « cher » mais c’était divin de chez explosif. Quand il s’est retiré de mes reins, mon anus palpitait encore tout seul. Après je ne me souviens plus très bien, vidée de toute énergie, je n’étais plus qu’une poupée de chair, mon esprit était comme endormi. Je ne dormais pas vraiment, c’était impossible, disons que mon cerveau était comme détaché de mon corps.
Et puis tout s’est arrêté et je me suis endormie aussitôt pour de vrai. Je ne me suis réveillée que quand il enlevait ma cagoule. Je ne me suis même pas rendu compte qu’il avait retiré les menottes. Encore une fois, il m’a donnée à boire, m’a passée des lingettes sur le corps pour me nettoyer un peu des multiples transpirations et poussières. Sur un chantier, il y a de la poussière, elle rentre partout, même dans la cagoule, en buvant j’avais l’impression d’avoir de la terre dans la bouche.
Maître m’a aidée à m’asseoir puis à m’habiller car j’étais vraiment vidée de toute énergie. Quand nous sommes sortis du bungalow de chantier il faisait nuit. Il m’a assise à l’arrière et m’a mis la ceinture de sécurité. Je me suis endormie de suite. C’est à peine si je me souviens qu’il m’a aussi portée en arrivant à la maison.
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Cette expérience, j’ai voulu la vivre une fois, autant par envie de sexe extrême sous la contrainte que par provocation. Une fois suffira car, malgré les précautions, préservatifs et lingettes pour les mains des 45 ouvriers, j’ai eu une infection vaginale. Je pense que c’est à cause de la poussière qui, comme indiqué précédemment, s’insinue partout dans un lieu comme celui-là.
37 hommes me sont passés dessus entre 16 heures et 22 heures. Même si j’étais consentante, c’est bien trop, on a mal partout après. Certes j’ai aimé et j’ai joui plein de fois, certes cérébralement c’était très fort, mais une fois suffira. Je plaints vraiment ces pauvres filles, cela doit être un véritable enfer. Cela n’a aucun rapport avec un gang bang ou les délires que l’on peut vivre parfois.
Ecrit par TSM pour Angélique.
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Franchement bien écrite et avec des détails croustillants, cette histoire rend le commentaire obligatoire. Merci à vous chez TSM pour vos idées parfois machiavéliques. |
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